vendredi 29 décembre 2006

Maudite tague même pas bbq...

Un peu comme on se passe des microbes, voici que Dion vient de me passer une tague partie de je ne sais où. Je dois ainsi révéler cinq trucs inconnus sur moi (et non inavouables!) Hum…
1- Je n’écris pas ce blogue; un nègre le fait pour moi; je ne suis que le faire-valoir public disponible pour des entrevues;
2- J’ai connu des succès mondiaux en traduisant les succès des Baronets en russe. La pègre russe s’est jointe à René Angelil et Ringo Star pour m’imposer le silence, mais je vais bientôt venir à bout des millions de dollars qu’ils m’ont offerts… Je n’aurai d’autres choix que de recommencer, mais en chinois;
3- Je suis une femme, mais mon opération n’est pas encore complétée. Lorsqu’elle le sera, je pourrai enfin assouvir ma passion incognito : le bingo;
4- À 14 ans, j’aplatissais des 5 sous à coups de marteau afin de les utiliser comme 25 sous dans des machines à boules. Ceci m’a permis d’économiser près de 7,25$. Si aujourd’hui la plupart des arcades ont un système de jetons, c’est en partie de ma faute;
5- Je mens 4 fois sur 5 (ce qui inclut peut-être cet énoncé… Il vous reste à savoir si un faux mensonge devient une vérité.)

Voilà. Je passe la tague à personne. Il faut bien que les contagions s’éteignent un jour… Mais je sais le système immunitaire de Jeff et de Galad bien fragile…

mardi 26 décembre 2006

Paroles d'étudiants

Je me suis promis de vous faire pour cadeau de Noël un florilège des plus amusantes fautes, coquilles et autres erreurs d'étudiants de cette session. Mais voilà, j'arrive en fin de session et... Ouf! Il y en a long. Rappel: tout est d'origine incontrôlée: l'orthographe comme la syntaxe.
Au risque de me répéter, si je fais cela, ce n'est pas parce que je veux me moquer de mes étudiants : je les adore! (Ouais, bon, d'accord... Il y en a un ou deux que j'aime moins...)

Allez vous chercher un café et... savourez!

...Pour citer le défunt Croc, ce n'est pas parce qu'on rit que c'est drôle.



Au sujet de Guillaume Vigneault – Carnets de naufrage

Après s'être procuré un baccalauréat en études littéraires à l'Uqam(...)
(Il n'y en avait plus chez Walmart.)

Présentement, Vigneault passe son temps à rédiger 4 scénarios de film.
(en attendant de trouver quoi faire...)

Il est en train d'écrire 4 scénarios pour un film.
(c'est mieux que certains qui écrivent 1 scénario pour 4 films.)

Ses projets à faire dans le futur sont d'écrire des scénarios qu'il transformera plus tard en théâtres.
(Un acte manqué.)

Vigneault se contente d'écrire plusieurs livres dans le futur.
(Un homme qui se contente de peu...)

Avant même d'avoir atteint l'âge d'être en droit, il est marqué par les écrits d'Hemmingway.
(C'est l'âge pré-universitaire.)

Parmi les oeuvres qui l'ont marqué on retrouve «On the Road» de Jackie Roy.
(et un livre d'Hemming Wong.)

Il a 2 oeuvres à son actif: son oeuvre le plus récent est le premier.
(Il y a des livres qui ne vieillissent pas.)

Vigneault était barman dans un bar du plateau Mont-Royal, il écrivait sur le côté, et il surfait de temps en temps.
(Vous essayerez, vous, de surfer sur le côté...)

Le livre est paru en octobre 2001 et se fait publier en avril 2002.
(C'est lent, le monde de la publication.)

Il utilise plusieurs anglicismes afin de rendre l'histoire plus susceptible.
(L'histoire du Québec?)

Il a une impatience spontanée et un côté réfléchissant.
(C'est pas comme celui qui a une patience mûrie et un côté mat.)

C'est un bon livre qui vaut le temps perdu en le lisant.
(Ce n'est pas parce que ça le vaut que ce n'est pas perdu.)

Camille représente l'eau pour sa tranquillité d'esprit et son pacifique.
(Mais c'est l'autre personnage qui Mexique.)

Ses relations et son amitié avec l'océan est parallèle à celle avec Camille: il veut se faire engouffrer.
(Après il se plaint que ses amis ne lui écrivent pas souvent...)

Alex se fait ramasser par les vagues plus souvent que pas.
(Tout de même de temps en fois.)

Attravers le roman, le symbole de (...)
(Attort et attravers...)

Carnets de naufrage pourrait bien et belle être le roman de tous les amateurs.
(Est-ce une qualité ou un défaut?)


(Pour ceux qui n'ont pas lu Carnets de naufrage, voici le résumé (tel quel!)):
Alex se fait briser le coeur par Marlène. Complètement dépourvu, alex administre quelques aventures sexuelles. Mais cicatrisé a jamais par la mémoire de Marlène, il a de la misère à retrouver son train. Naufragé par les sentiments qu'il a et ceux qu'il pense avoir, il vit sa vie jours par jours essayant d'oublier Marlène, pour finir dans ses bras.
(Rien à ajouter.)


Au sujet de Jean-Paul Dubois – L'Amérique m'inquiète

Dubois n'exerce pas seulement le prestigieux métier d'écrivain connu et qui a ses lecteurs, mais il est également journaliste.
(C'est Brisebois qui doit regretté d'avoir étudié en écrivain méconnu.)

Cette histoire se déroule en Orégon, où les homosexuels sont tués puis intimidés verbalement.
(Hé, le fif, reviens en vie si t'es un homme!)

Les histoires sont regroupés en groupes (...)
(Pour ne pas être seules isolées.)

Le titre du texte est intitulé(...)
(Un surtitre.)

L'auteur fait le tour des 4 coins de l'Amérique.
(Cependant, il connaît mal le milieu.)

Il a été retrouvé coupable.
(On l'avait pourtant perdu innocent.)

Il y a plusieurs thèmes qui reviennent dont (...) l'humilisization, les diversifications, l'insignifiance (...) qui tous, amoindrissent l'Amérique en quelque sorte.
(La note, aussi.)

En changeant ces détails, les textes dépossèderaient d'exactitude et de signification.
(Heureusement, on ne change rien.)

Dans un chapitre, une phrase embrouillée survient à la fin.
(Comme ça, pouf!)

Des vols sont commis sur les touristes qui ressemblent à des étrangers.
(Ces maudits touristes qui ont l'air de venir d'ailleurs...)

L'auteur a une manière de s'exprimer qui est indivisible, turbulente et spéciale.
(Ouais... spéciale...)

Une fin improductive et directe est souvent imagée. Communément, l'opinion de l'auteur est retrouvée dans ces courtes terminaisons. Les conclusions semblent insuffisantes.
(C'est le boutte du boutte!)

Sans ces conclusions pénétrantes, poussées et mystérieuses, les textes ne toucheraient pas le public pareillement.
(C'est vrai que ça me touche, une pénétration de conclusion.)

Le point de vue de l'auteur est européen et le livre est écrit àa la 3e personne du singulier. L'auteur écrit donc généralement.
(En gros, c'est ça.)

Les nouvelles produisent un effet d'incroyance.
(Meuh!!?!...)


Au sujet de Stéphane Bourguignon – L'Avaleur de sable

Pendant dix ans, Bourguignon a oeuvré comme un auteur humoristique.
(Ce n'est qu'après qu'il a travaillé comme un fou.)

Il a étudié comme scénariste de formation.
(Aujourd'hui, il travaille comme écrivain de métier.)

Huit mois, c'est suffisant pour s'oublier d'une femme.
(La belle excuse: je me suis oublié...)

Un sourire discret va sans doute émaner du lecteur.
(On sent qu'il aime.)

Le personnage se laisse empoter par son égocentrisme.
(Ce n'est pas impotant ce que les autres pensent.)

Les thèmes(...), les personnages(...), le tout placé dans un décor de langage humoristique(...)
(Et il ne parle pas des costumes de mimiques dramatiques.)



Au sujet d'Agota Kristof – Le Grand Cahier, La Preuve et Le Troisième Mensonge

La trilogie plairait beaucoup à des lecteurs. C'est le genre de livre. Fin
(Je lui ai donc donné un genre de note.)

Cette histoire laisse le lecteur sur le bout de ses pieds.
(C'est un livre qu'on lit de haut!)

Elle travaillait dans une usine pendant qu'elle se plaisantait à écrire des poèmes.
(La poésie? Une vraie farce...)

Elle commence à avoir des contractions et elle se met à écrire.
(Quand l'écriture devient urgence...)

Malgré la longueur de l'histoire, il n'y a rien à ajouter.
(C'est ce que je me disais.)

Même s'il y a des parties dégoûtant, ses histoires sont grippant et, de temps en temps, mouvant.
(Ça mouve l'esprit.)

La limpidité de l'oeuvre n'est pas très fluide.
(La clarté était écoulée.)

Le niveau de vocabulaire convient aux lecteurs dont le français n'est pas la langue maternante.
(Quand je vous dis que c'est une langue dure...)

Elle est une écrivaine d'origine hongraisse.
(C'est ça qui arrive quand on a trautriché.)

Les enfants aident à la cultivation du jardin.
(Rien de mieux pour prévenir l'ignoration.)

Au fil des années, les enfant ont aggrandi.
(Ils manquaient d'espace...)

Un jour, la grand-mère est tombée malade. Le docteur a dit qu'elle allait pourrir bientôt!
(Elle est gâtée!)

La mère meurt lors d'une explosion d'un abus.
(Un abus sexuel, c'est une bombe?)

La femme s'épilait Yasmine.
(Ça nous fait une belle jambe.)

Son enfant est né avec une déformité.
(C'est une énormation!)

À cause de son handicap, l'enfant est plus petit que d'habitude.
(Habituellement, il est grand comme ça!)

Lucas voulait tellement que l'enfant marche comme tout le monde qu'il lui a acheté un tricycle.
(Dans ce pays, les bébés marchent à 4 roues.)

Il aimait jouer avec le chien à qui appartenait son maître.
(Ramasse ma crotte... Bien! Bon maître.)

Non seulement a-t-elle juste écrit des romans, mais des pièces de théâtre aussi.
(Elle se contente d'en faire plus!)

On ne sait si ce roman est une fiction ou une bibliographie.
(Il faudrait demander au biothécaire.)

Le lecteur doit s'habituer au changement de perspective: dans le 2e livre, c'est un narrateur qui raconte l'histoire.
(Je ne sais pas pour vous, mais moi, je ne m'habitue pas.)

Des chapitres longs et moins appréciables donne aux lecteurs l'impression d'un intérêt déprimant.
(J'ai l'intérêt qui ne file pas, ces derniers temps...)

Kristof garde l'attention de ses lecteurs avec non seulement de l'intéresse, mais aussi du confus.
(Et un peu du questionné...)

Ce roman, contrairement à d'autres, est de long et de large.
(Les autres sont plus du genre épais.)

La simplicité de son écriture donne à cette trilogie une volonté alléchante à se terminer.
(Vivement la faim!)

Kristof n'a pas froid aux mains en osant traités des thèmes sans pudeur.
(Elle n'y va pas de main morte!)

Des thèmes de misère aident l'auteur à illustrer un portrait de l'humanité.
(Ce ne sont pas des thèmes bien riches...)

Les chapitres sont courts et peuvent être lu un à la fois.
(Ah, ça, c'est bon à savoir...)

Mathias s'est pendu en voulant se suicider.
(Il devait être déçu.)

Sa mère a caché son enfant dans sa robe quand elle était enceinte de lui.
(Il s'agit seulement de ne pas l'oublier là lors du lavage.)

Son père est mort longtemps.
(Il était du genre entêté!)


Deux petites dernières, au sujet d'autres trucs:

Les gens voient les fusils comme des outils de tuage.
(et de blessage aussi.)

Aujourd'hui, les centres de ski sont obligés de faire la neige à la main.
(Il n'y a rien comme glisser sur de l'artisanat! Parlez-moi pas de la neige d'usine...)

vendredi 15 décembre 2006

De L'Art du malheur

Le malheur est sable mouvant; il ensevelit doucement, contraint à l'isolement, oblige à une guerre inégale du soi envers et contre tout. Ce malheur nous replie sur nous-mêmes, nous ramène le nez à la hauteur du nombril, comme ces bêtes en hibernation qui cherchent à conserver le peu de chaleur qu'il leur reste. Il remet en question, oblige à chercher l'angle de pensée, le point de vue salvateur. Contraintes à son inconfort, ses victimes se gèlent à coups de surdoses, d'Ativan, de Jack Daniel's ou de relations humaines pour connaître trois minutes de répit. D'autres encore s'exploseront en éclats de souvenirs dans le bureau d'un psy ou à coups de bâtons sur le pare-brise d'une voiture de luxe trop insolente, puis on les retrouvera en morceaux, écrasés sur un poteau le long d'un chemin de campagne, dans un bain de sang en bas d'un ravin ou dans une mer de larmes sur un trottoir à la fermeture des bars. Il reste aussi ceux qui s'y enliseront jusqu'aux cheveux et qui en profiteront pour accumuler au fond de la gorge un crachat qu'ils garderont pour les beaux jours, d'autres y verront cependant l'occasion de se disséquer. Et après tout cela, après avoir tout écorché, le malheur laisse une peau à vif ou recouverte d'une épaisse corne. Les écorchés formuleront un bon roman, une phrase pas trop mièvre dans une carte de sympathies ou une parole inspirées entre deux gorgées. Par contre, les racornis n'auront de mots que pour comparer amèrement leurs disgrâces à celles d'autrui, immanquablement plus fades.

Contrairement au malheur, le bonheur est mauvaise muse car il émousse les sens, tait le pire, rend futile la quête. Le bonheur réchauffe à feux doux, attendrit les chairs, rend vulnérable aux lames des couteaux, à cette épée de Damoclès que reste le malheur. Il y a dans le bonheur une vaste population: des innocents, des jovialistes, des insupportables. Il y a aussi, il y a surtout, ceux qui l'ont choisi, d'emblée ou après avoir tutoyé le laid, goûté à la mécanique du pire, un pire bien personnel. Il y a, dans le bonheur, bien des malheurs assourdis.

Mais je m'égare; en arrivant devant l'écran, je me demandais simplement si je devais me saboter pour être plus, mieux inspiré. Si je suis heureux, suis-je condamné à l'écriture de biographies et de scénarios à la Disney?

mardi 12 décembre 2006

Les Petits Riens de bon

Ouvrir le dictionnaire directement à la bonne page; sortir mon manteau d’hiver du placard en novembre et trouver 20$ dans le fond d’une poche; entamer un nouveau pain; écrire mon nom dans un nouvel agenda; donner un premier coup de gaz quand je sors la moto en avril; m’imbiber du bleu profond de la haute mer; tomber sur une vieille photo dont j'avais oublié et l’existence, et l’événement qu’elle rappelle, et les amis qui y sont posés; jouer aux cartes avec une poignée d’amis et rire même quand je perds; revenir de l’épicerie les bras chargés et ralentir le pas, pour rien, de même; recevoir des nouvelles d'une vieille connaissance; entendre qu’un étudiant m'a chaudement recommandé à un de ses amis; lire sur Internet que je suis « a bitch on correction »; entendre ma fille de sept mois crier en riant chaque fois qu’on dit « c’est un belette! »; l’entendre, la voir, la faire rire; laisser la première gorgée de bière perdre son effervescence avant de l’avaler; faire cela avec la deuxième aussi; croiser une « ex » sur la rue et se rendre compte que ça ne m'a rien fait, rien de rien, rien pentoute; passer des heures avec un ami à parler de n’importe quoi, de tout et de rien, idéalement de rien; rouler dix kilomètres avec ma blonde, en silence, la main sur sa cuisse, à contempler les vaches et les poteaux; recevoir un bec dans le cou entre deux corrections; réaliser, en me couchant épuisé, que ça fait une éternité que je n'ai pas trouvé la vie dégueulasse…

vendredi 8 décembre 2006

Mary Poppins

Un peu de musique, un nouveau montage, et la gentille devient méchante...


Merci à Dominic pour le lien.

lundi 4 décembre 2006

Patricia

Depuis le début de la session, Patricia vogue de creux en crêtes, ses présences et son assiduité aussi cyclothymiques que volatiles. Visiblement, le cégep avait apporté un lot trop lourd pour ses frêles épaules d'adolescente.

Dans mon cours, l’entrain de Patricia s’est évanoui très tôt. En plus de ne pas être présente à tous les cours, elle remettait ses devoirs en retard, visiblement faits sur le coin de la table, et il en émanait toujours cette odeur d’essence propre au monde des pompistes, son travail de nuit. Chaque fois, elle s’en est excusée, le menton sur la poitrine, les yeux dans une flotte que je ne savais sincère ou actée. Chaque fois, je lui ai pardonné, enlevant quelques points ici et là, pour le retard, pour la forme. Je me disais qu'à 17 ans, subvenir seule à ses besoins ne devait pas être une sinécure tous les jours. Je me disais que certains ne l'avaient pas facile.

Cette semaine, derniers cours, derniers examens, derniers spectacles du clown devant spectateurs. Vendredi dernier, Patricia m’a écrit un courriel demandant ma bénédiction pour une dernière absence, une autre, question de pomper de l’essence, question de joindre 2 bouts qui lui semblaient irréconciliables. Elle pouvait faire l’examen jeudi, à Noël ou à la Saint-Sylvestre, mais là, le patron avait besoin d’elle et elle, d'argent. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas accepter, puis j’ai ajouté une histoire de dernier effort, d’élastique cassé, de deuxième, troisième, dixième chance usée. Peut-être était-ce l’humain dans le prof qui s’usait, je n’en étais pas sûr… Pour me rassurer, je me suis dit qu’elle bluffait, et j’ai misé sur son sens des responsabilités.

Ce matin, Patricia n’est pas venue au cours.

Patricia n’aura pas un diplôme à rabais, elle ne passera pas mon cours en faisant la moitié des examens et des travaux, elle ne pourra dire à ses amis : prenez le cours de Rondeau, c’est trop facile…

Non, Patricia ne l’aura pas eu facile.

Et justement pour ça, le prof consciencieux que je suis a un peu de mal à fermer l’œil ce soir.

Qui l'eût cru...

Je ne peux pas vous laisser une fin de semaine sans que vous fassiez des bêtises! Je reviens des Cantons de l'Est et qu'apprends-je? Que des gens trouvent du charisme à Stéphane Dion? Qu'on aura le choix entre Dion et Harper aux prochaines élections? Mais juste pour voir la bette médusée de Denis Coderre, ça valait la peine...

Est-ce moi ou bedon ça sent les conditions gagnantes pour un référendum?

***

"Ma force, c'est d'être sous-estimé."
Stéphane Dion, nouveau chef du Parti libéral du Canada, qui nous a sous-estimulé depuis un brin, itou...

Stéphane, Céline, Maman, la famille, Patrick...
Qu'on se passe le mot: CESSEZ de sous-estimer les Dion!